Titre : | Petit éloge du temps présent | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Jean-Marie Laclavetine (1954-....), Auteur | Editeur : | Paris : Gallimard | Année de publication : | impr. 2006 | Collection : | Folio | Sous-collection : | 2 € | Importance : | 1 vol. (123 p.) | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-034162-7 | Prix : | 2 EUR | Langues : | Français (fre) | Index. décimale : | 844.914 oeuvre Essai littéraire de langue française - 1945-1999 [oeuvre]
| Résumé : | " Nous vivons désormais dans le "présent perpétuel" prédit par Debord. Oh, sinistre prestige de la table rase, conjugué à la tyrannie du spectacle... De plus en plus souvent, les romans qui agitent l'opinion donnent à pressentir une littérature sans mémoire, une communauté réduite aux caquets de l'autobiographie, maigrelette et touche-pipi, jetant des anathèmes pathétiques sur l'imagination qui lui fait défaut, arpentant les champs de bataille cathodiques, parée de fausses-vraies balafres et de peintures de guerre tendance, fixant sur la caméra un regard terrible : "J'ai l'air assez barbare, là ?" Et il arrive, oui, que l'on trouve cela délicieusement barbare. "
(Editeur) |
Petit éloge du temps présent [texte imprimé] / Jean-Marie Laclavetine (1954-....), Auteur . - Gallimard, impr. 2006 . - 1 vol. (123 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Folio. 2 €) . ISBN : 978-2-07-034162-7 : 2 EUR Langues : Français ( fre) Index. décimale : | 844.914 oeuvre Essai littéraire de langue française - 1945-1999 [oeuvre]
| Résumé : | " Nous vivons désormais dans le "présent perpétuel" prédit par Debord. Oh, sinistre prestige de la table rase, conjugué à la tyrannie du spectacle... De plus en plus souvent, les romans qui agitent l'opinion donnent à pressentir une littérature sans mémoire, une communauté réduite aux caquets de l'autobiographie, maigrelette et touche-pipi, jetant des anathèmes pathétiques sur l'imagination qui lui fait défaut, arpentant les champs de bataille cathodiques, parée de fausses-vraies balafres et de peintures de guerre tendance, fixant sur la caméra un regard terrible : "J'ai l'air assez barbare, là ?" Et il arrive, oui, que l'on trouve cela délicieusement barbare. "
(Editeur) |
| |